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mercredi 23 janvier 2013

Droit de préemption - Délai pour répondre à une déclaration d'intention d'aliéner

Droit de préemption, Computation du délai de deux mois
 
Le silence du titulaire du droit de préemption urbain pendant deux mois à compter de la réception de la déclaration d’intention d’aliéner vaut renonciation à l'exercice du droit de préemption. 
 
En cas de retrait au bureau de poste du pli contenant la décision de préemption, seule la date de ce retrait, et non celle de la présentation du pli, doit être regardée comme celle de la réception de cette décision.
 
(CAA de Bordeaux, 7 février 2012, commune de Mont-de-Marsan, n° 11BX00761 et 11BX01493)